Avant de comprendre pourquoi il est important de filtrer et de revitaliser une eau, il s’agit de bien savoir différencier une eau dite « vivante » (vitale ou revitalisée) d’une eau dite « morte » (dévitalisée). Il existe de l’eau polluée « vivante » comme il existe de l’eau propre «morte».
Une eau vivante sera directement utilisée, absorbée par notre organisme sans intervention de celui-ci. Si on donne à notre organisme une eau morte, le corps va être obligé de la transformer pour pouvoir l’absorber ; en d’autres termes, l’organisme va puiser dans son énergie pour procéder à cette transformation, énergie qu’il pourrait utiliser pour ses autres fonctions vitales (comme faire fonctionner vos organes, vous protéger des agressions extérieures).
Notre corps a besoin d’une eau naturellement structurée (vivante), car seulement dans cet état l’eau facilite le transport des nutriments à l’intérieur des cellules et pénètre sans difficulté dans les espaces intracellulaires. Plus l’eau est déstructurée, plus le corps doit utiliser son énergie pour sa revitalisation et la restructuration moléculaire pour pouvoir l’assimiler. En conséquence, moins d’énergie est disponible pour d’autres processus vitaux, garantir l’homéostasie et pour maintenir l’équilibre avec l’environnement. Tout cela affaiblit la résistance de l’organisme et conduit potentiellement à la maladie.
L’eau du robinet, les eaux minérales ou de source sont « vivantes » à la sortie de la source.
Une eau morte est une eau qui a été soumise à des polluants, des traitements pour la rendre potables, des contraintes (traitements en stations d’épuration de pompage et d’embouteillage, le transport le long de canalisations en lignes droites et en métal, avec angles droits, sans aucun contact avec la lumière et sous haute pression), un conditionnement en bouteilles plastique , etc… L’eau en bouteille peut d’ailleurs être considérée comme une eau stagnante. Elle a subi une diminution de résistivité électrique, s’est oxydée, sa tension superficielle a augmenté, et a de fait, perdu ses qualités naturelles.
Toutes ces contraintes auront pour conséquences que les molécules d’eau vont s’agglomérer en amas moléculaires (clusters) ce qui rend difficile l’absorption par les organismes vivants. Dans cet état, les minéraux présents ne sont pas assimilables par l’organisme. C’est pourquoi il est important de revitaliser votre eau avant de la boire pour éviter que ces minéraux ne s’accumulent dans vos organes, les articulations, les muscles et les encrassent. Sinon, on force le corps à utiliser ses propres réserves d’énergie pour restructurer ces clusters et rendre l’eau adaptée aux fonctions vitales du corps.
La bouteille i9 rend à une eau « morte » sa structure originelle d’eau de source de montagne lui permettant d’être directement assimilable par l’organisme sans que celui-ci ne puise dans son énergie.
Une eau filtrée n’est pas forcément une eau « vitale ». Faire passer l’eau au travers de charbon actif, dans de la céramique ou au travers de pores microscopiques (0.0001 microns pour l’osmose inverse) ne change rien à la vitalité de l’eau. Elle la débarrasse simplement de ses plus gros ou plus petits polluants.
Les eaux osmosées sont considérées par certains comme trop « vides » pour être consommées sans restructuration mais elles ont le mérite de faire baisser le pH d’un à deux points, faisant passer l’eau du robinet alcaline à une légère acidité, bénéfique selon les normes de la la Bio-électronique de Vincent. L’eau reste néanmoins morte.
Pour rappel, le sang est à l’équilibre à pH de 7.2 – 7.3, pH nous permettant de rester en forme et lui permettant de transporter l’oxygène et les nutriments. Boire une eau trop alcaline (>8) sur du long terme peut être néfaste à la santé et générer des maladies. N’oublions pas que notre corps est une formidable machine en équilibre et que lui donner une eau « trop alcaline » revient à lui faire subir un traitement auquel le corps devra s’adapter.
La bouteille i9 n’est pas un filtre, mais elle permet au corps d’éliminer une grande partie des substances indésirables. Par ailleurs, elle rend à l’eau sa structure originelle d’eau de source, ce qui en fait un parfait complément à un système de filtration ou d’osmose
Les eaux minérales sont des eaux qui officiellement possèdent toutes les qualités « santé » requises. Le souci c’est que la plupart sont généralement beaucoup trop minéralisées pour être consommées de manière régulière. Contrairement aux eaux thermales qui sont vivantes, les eaux embouteillées sont mortes, en d’autres termes les minéraux qu’elles contiennent sont peu assimilés par l’organisme car sous forme anorganiques. Non seulement on perd tout le bénéfice de les boire à la source mai de plus on risque d’entartrer nos articulations et nos muscles. Cela revient à rajouter des minéraux à des eaux de robinet…ce que certaines marques ne sont pas loin de faire. Rappelons-nous surtout que les minéraux doivent être apportés par les aliments que nous consommons et non par l’eau que nous buvons.
Les eaux dites « thérapeutique » présentent des propriétés spécifiques et documentées, dues à une composition précise en sels minéraux et en oligo-éléments. Par ailleurs, elles jaillissent de leur source à une température supérieure à 20°C. C’est le cas des eaux sulfurées, Sulfatées, Chlorurées, bicarbonatées, oligo-métalliques , etc… Consommer ces eaux sous-entend un suivi médical, pour une durée limitée. On en consommera essentiellement dans le cadre de dans le cadre de cures thermales, en association avec des bains et du repos. L’eau est prélevée et bue à la source, ce qui lui permet de garder sa vitalité.
Le sujet de l’eau est un sujet très sérieux qui est loin d’avoir révélé tous ses secrets. Nous espérons que ces quelques lignes très générales et synthétiques vous donneront l’envie de creuser un peu plus le sujet.
Comme dit précédemment, la bouteille i9 est une gourde en verre vous permettant de revitaliser l’eau ou que vous soyez, au bureau, en randonnée, en vacances… Offrez à votre corps l’eau dont il a besoin.
Partant du principe que l’eau peut enregistrer des informations et que la théorie concernant la mémoire de l’eau doit pouvoir se visualiser, le Dr Emoto a développé une méthode bien spécifique à l’aide de la photographie afin de monter l’impact de ces informations. Il s’agira alors de soumettre l’eau à diverses informations, des mots, de la musique, des textes sacrés ou non, des images positives et négatives, de la congeler puis de la photographier afin de voir s’il y a une différence… ou pas.
Pour le test réalisé ci-dessous, des gouttes d’eau distillée ont été congelées et photographiées au microscope numérique. Pour mieux comprendre l’effet énergétique du process d’information de l’eau, on a utilisé une eau distillée, eau qui est à peine capable de produire des formes cristallines sur les gouttes gelées.
La photographie ci-dessous montre le cristal d’une eau potable distillée. Cette forme est considérée comme significative pour de l’eau potable distillée.
La bouteille i9 Chakra a été remplie avec cette même eau distillée pendant 2 heures. Des gouttes d’eau ont ensuite été congelées et photographiées au microscope numérique. On constate un changement significatif de la forme du cristal d’eau.
Photos publiées sur le site bouteillei9.com
Peut être pas forcément sous ce nom …et pourtant, dès les premières notes, on reconnait ce morceau, composé vers 1680, et traditionnellement joué de nos jours pour l’accompagnement de la marche nuptiale lors des mariages.
Le Canon de Pachelbel ou « Canon en ré » ou « Canon per tre Violini e Basso » (titre original) ou « Canon et Gigue en ré majeur pour trois violons », avec basse continue fait partie d’une pièce de musique de chambre baroque, composée par le compositeur allemand Johann Pachelbel (1653-1706).
Un canon est une forme musicale dans laquelle une ligne mélodique est jouée par plusieurs instruments ou voix à des intervalles différents en même temps. Ce canon est dit « à l’unisson », ce qui signifie que les trois violons jouent les mêmes notes l’un après l’autre, ce qui n’est pas le cas de tous les canons, quelques-uns possédants des départs sur des notes différentes.
La version proposée ici est une adaptation réalisée à partir de la partition d’origine et interprétée en 429,62 Hz par Tommi Jack’s, musicien reconnu internationalement, auteur-compositeur, interprète, ingénieur du son, en collaboration avec le Pr. Marc Henry, enseignant-chercheur en chimie, science des matériaux et physique quantique à l’université de Strasbourg, connu, entre autres, pour son approche quantique de la nature, où l’eau est vecteur d’information.
Cette adaptation a consisté à reproduire le morceau avec les instruments d’époque mais surtout à utiliser comme diapason, la fréquence quantique de l’eau de 429,62 Hz dérivant des travaux de Joël Sternheimer, spécialiste de physique quantique et artiste musicien, à l’origine de la théorie des ondes d’échelles et repris par le Professeur Marc Henry. D’après ces travaux, l’onde de matière associée à la molécule d’eau transposée en onde sonore vibre à une fréquence de 429,62 Hz.
Toujours d’après les travaux de Joël Sternheimer, on retrouve dans cette mélodie les notes de musique d’une protéine anti-stress de type GTPase.
Bref cette musique est à écouter sans modération par tous ceux qui se sentent stressés ou dépressifs, ceux qui souffrent…. et par tous les autres sensibles à ce magnifique… « Canon pacifique » !
